La parole à : Patrick Tasnier, entrepreneur belge venu se former au CIDS

Publié le 27/04/2023

Entrepreneur belge, ayant cédé son activité de distributeur de boissons, Patrick Tasnier a sollicité le CIDS dans le cadre de son projet de créer sa distillerie en Belgique. Pour cela, il a suivi un parcours de formations orientées vers une production diversifiée de spiritueux.

Patrick, comment avez-vous connu notre centre de formation ?

Via mes recherches sur Internet, en cherchant des formations sur la liquoristerie et la distillation. Ce n’est qu’en France que j’ai trouvé car en Belgique il n y a pas de formation.

En quelques mots, comment vous témoignez de votre expérience au CIDS ?

Un seul mot : extraordinaire. Et cela, après avoir suivi beaucoup de formations un peu partout en France avec d’autres organismes et sans les critiquer. Le CIDS est pour moi largement au-dessus des autres. La qualité des locaux, le service et la disponibilité des collaborateurs et des formateurs en font un outil de pointe pour les personnes qui veulent acquérir les techniques sur le métier de distillateur.

L’investissement dans ces formations vous a plutôt fait gagner du temps, de l’argent ou des compétences ?

Je dirais les trois en fin de compte. Quand on démarre de zéro comme moi, chaque formation est importante et permet d’apprendre un peu plus à chaque fois. On gagne du temps car on apprend bien et on gagne de l’argent car on évite de faire des erreurs grâce aux compétences acquise.

Nos formations ont permis de conforter ou d’affiner votre stratégie ?

Oui, car chaque formation apporte une pièce à l’édifice que l’on veut créer. On se rend compte que chaque détail technique est important pour la création de sa propre distillerie.

Que diriez-vous des contacts avec les formateurs comme avec les autres stagiaires ?

Magnifique ! Je n’oublierai aucun formateur et ni aucune formatrice, même si une m’a donné le mal de tête avec sa matière…Mais elle est très importante. Ils sont tous ouverts à la discussion, même après les formations. Quant à la rencontre avec les stagiaires, elle a été enrichissante sur le plan humain et technique. Je garde d’ailleurs contact avec certains pour échanger nos idées.

Avez-vous un souvenir ou une anecdote à partager ?

Parmi les stagiaires, j’ai rencontré un Tahitien et une Tahitienne. J’ai trouvé ces personnes extraordinaires en parlant avec elles de leurs belles îles et de leurs vies. Il y avait longtemps que je n’avais plus rencontré des personnes ainsi.